Contexte
Nous allons explorer en détail ce qu'est la facturation électronique, comment elle fonctionne, les avantages qu'elle représente, ainsi que la réglementation en vigueur qui encadre aujourd'hui son activité.
Avantages de la facturation électronique
En effet, la digitalisation des factures s'accompagne de facto d'une diminution de la consommation de papier mais aussi de timbres en supprimant les envois postaux.
La rapidité du traitement est un réel avantage à l'heure où l'on cherche à optimiser aux maximum le volet administratif des entreprises. Les factures électroniques peuvent être envoyées et traitées instantanément, ce qui réduit les délais de paiement et limite également les litiges lorsque les courriers n'arrivent pas en temps voulu par exemple.
Qui dit traitement informatique, dit risque de piratage informatique ? Eh bien non. La sécurité des données est aujourd'hui un argument utilisé pour prôner la facturation électronique puisque les factures ont l'obligation d'être transmises puis stockées de manière sécurisée, ce qui réduit le risque de perte ou de vol.
Conclusion
Toutefois, il est important pour les entreprises de respecter la réglementation en vigueur, étape importante dans la transformation numérique, afin d'assurer la sécurité et la validité juridique de leurs factures électroniques.
Cette tendance va continuer à se développer à l'avenir, et il est important pour les entreprises de s'adapter dés à présent à cette nouvelle réalité numérique en
planifiant soigneusement la mise en place de cette pratique.
Principe et fonctionnement de la facturation électronique
La réglementation en vigeur
Déja obligatoire depuis 2020 pour les entreprises qui échangent avec le secteur public (B2G) via la mise en place du portail spécifique Chorus Pro, cette obligation entrera officiellement en vigueur à compter du 1er juillet 2024 pour l'ensemble des relations commerciales entre entreprises (B2B). Un délai de tolérance sera toutefois proposé pour les entreprises de taille intermédiaire (1er janvier 2025) et pour les petites et moyennes entreprises (1er janvier 2026).